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L' Ecumeur de mer
Contributor(s): Dufauconpret, Auguste Jean (Translator), Ballin, G-Ph (Editor), Cooper, James Fenimore (Author)
ISBN: 1495984079     ISBN-13: 9781495984075
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $22.71  
Product Type: Paperback
Language: French
Published: February 2014
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Additional Information
BISAC Categories:
- History | Native American
Physical Information: 0.47" H x 8.5" W x 11.02" (1.17 lbs) 224 pages
Themes:
- Ethnic Orientation - Native American
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
Extrait Ce magnifique bras de mer qui baigne les c tes d'Am rique entre le quaranti me et le quarante et uni me degr de latitude, est form par les confluents de l'Hudson, le Hackensack, le Passaic, le Bariton et une multitude de petites rivi res qui versent toutes, entre l'espace que nous avons nomm , le tribut de leurs eaux dans l'Oc an. Les les de Nassau et des tats sont heureusement plac es pour loigner des c tes les temp tes de la pleine mer, et le bras profond et large qui p n tre jusque dans les terres offre toutes les facilit s d sirables pour le commerce tranger et int rieur. C'est cette heureuse disposition de terrain, un climat temp r , une position centrale et un immense int rieur qui actuellement est p n tr dans tous les sens par des courants d'eau naturels ou artificiels, que la ville de New-York doit son extraordinaire prosp rit . Bien que cette baie soit belle, il y en a beaucoup d'autres qui la surpassent par le charme pittoresque; mais il est douteux qu'il y ait au monde un autre site, qui r unisse autant d'avantages, pour l'accroissement et la commodit d'un commerce tendu. Comme si ses faveurs taient in puisables, la nature a plac l' le de Manhattan au point pr cis o elle peut tre le plus favorable la position de la ville. Des millions d'habitants pourraient y vivre, et cependant un vaisseau aurait la facilit de recevoir sa cargaison chaque porte, et quoique la surface du terrain ait toutes les in galit s requises pour la propret , son sein est rempli des mat riaux les plus utiles la construction. Les r sultats de circonstances si favorables et si rares sont bien connus. Un accroissement continuel, qui n'a aucun exemple m me dans l'histoire de cet tonnant et fortun pays, a d j lev l'insignifiante ville de province du dernier si cle, au niveau des cit s du second rang de l'autre h misph re. La nouvelle Amsterdam de ce continent rivalise d j avec son alli e de l'Ancien-Monde, et, autant qu'il est permis l'imagination humaine de pr voir, on peut pr dire que peu d'ann es la placeront au rang des plus brillantes capitales de l'Europe. Il semblerait que, de m me que la nature a donn ses p riodes diverses la vie animale, elle a aussi pos des limites toute pr pond rance morale et politique. La cit des M dicis se perd dans ses murailles en ruines comme les jambes du vieillard dans ses pantalons pied 1]; la reine de l'Adriatique dort au milieu de ses les fangeuses, et Rome elle-m me n'est reconnaissable que par ses temples croul s et ses colonnes demi ensevelies. L'Am rique, jeune et vigoureuse, couvre les d serts de l'ouest des fruits les plus heureux de l'industrie humaine. L'habitant du Manhattan, familier avec les for ts de m ts, les quais, les innombrables villes, les glises, les ch teaux, les vaisseaux fumants et anim s qui encombrent sa baie, l'accroissement journalier et le mouvement g n ral de sa ville natale, reconna tra difficilement le tableau que nous allons tracer. Celui qui viendra une g n ration plus tard sourira probablement en pensant que l' tat pr sent de la ville fut un sujet d'admiration; et cependant, nous n'allons transporter le lecteur qu' un si cle en arri re dans la courte histoire de ce pays