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Ravehsnest: ou les peaux rouges
Contributor(s): Dufauconpret, Auguste Jean (Translator), Cooper, James Fenimore (Author)
ISBN: 1495997049     ISBN-13: 9781495997044
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $20.81  
Product Type: Paperback
Language: French
Published: February 2014
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Additional Information
BISAC Categories:
- Literary Collections | American - General
Physical Information: 0.41" H x 8.5" W x 11" (1.01 lbs) 192 pages
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
Mon oncle avait longtemps voyag , je pourrais dire longtemps r sid , en Europe; car sur ses cinquante-neuf ann es, il en avait pass au moins vingt hors du continent am ricain. Vieux gar on, sans autre occupation que de recevoir les revenus d'une belle propri t , dont la valeur s'accroissait rapidement par suite du d veloppement prodigieux de la ville de New-York, avec des go ts form s par les voyages, il tait naturel qu'il cherch t de pr f rence les r gions o il pouvait le mieux se satisfaire. Hughes Roger Littlepage, second fils de mon grand-p re, Mordaunt Littlepage, et de sa femme Ursule Matbone, tait n en 1786. Mon p re, Malbone Littlepage, tait le fils a n de la famille, et il aurait h rit de la propri t de Ravehsnest, s'il avait surv cu ses parents; mais comme il tait mort jeune, je recueillis l' ge de dix-huit ans ce qui e t t sa succession. Mon oncle Ro, cependant, avait eu pour sa part Satanstoe et Lilacksbush, deux maisons de campagne avec fermes, qui, sans tre lev es la dignit de domaines, pouvaient bien, en fin de compte, se montrer d'un meilleur rapport que les acres tendus qui formaient le patrimoine du fr re a n . Mon grand-p re tait riche; car non-seulement la fortune des Littlepage tait concentr e dans ses mains, mais aussi celle des Mordaunt, qui tait la plus consid rable, sans compter quelques legs fort arrondis, provenant d'un certain colonel Dirck Follock, ou Van Valkenburgh, qui, bien que parent tr s- loign , avait choisi pour ses h ritiers les descendants de ma bisa eule, Anneka Mordaunt. Nous tions tous bien pourvus, mes tantes ayant de fort beaux capitaux en obligations et en hypoth ques sur une propri t appel e Mooseridge, outre quelques actions sur la ville, tandis que ma soeur Marthe poss dait en deniers comptants cinquante mille dollars. J'avais aussi des actions de ville qui devenaient d'un bon produit; et une clause de minorit pendant sept ans avait form une accumulation de capitaux qui taient parfaitement plac s dans la compagnie de l' tat de New-York. Je dis une clause de minorit , parce que mon p re et mon grand-p re, l'un en me pla ant moi-m me et une portion de la propri t sous la tutelle de mon oncle, l'autre en confiant ses soins le reste de mes biens, avaient sp cialement stipul que je n'entrerais pas en jouissance avant d'avoir accompli ma vingt-cinqui me ann e.