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La maison de Nucingen, suvi de, Pierre Grassou: La comedie humaine
Contributor(s): Ballin, G. -. Ph. (Editor), De Balzac, Honore (Author)
ISBN: 1508793115     ISBN-13: 9781508793113
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $12.87  
Product Type: Paperback
Language: French
Published: March 2015
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Additional Information
BISAC Categories:
- Biography & Autobiography | Philosophers
Physical Information: 0.37" H x 6" W x 9" (0.53 lbs) 174 pages
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
La Maison Nucingen est un roman d'Honor de Balzac crit en 1837, d'abord roman-feuilleton paru dans La Presse, d'octobre novembre 1837, dit en volume en 1838 chez Werdet. Il fait partie des Sc nes de la vie parisienne de La Com die humaine. Le titre initialement pr vu par Balzac tait la Haute Banque, terme qui d signait l' poque une poign e de banquiers qui avait acquis une pr pond rance absolue sur les march s financiers et dont Nucingen fait partie. Le baron de Nucingen appara t pour la premi re fois dans Le P re Goriot, puis dans Melmoth r concili o il est voqu par l'interm diaire de son caissier. Balzac n'avait d'ailleurs pas termin l' criture de Melmoth lorsqu'il entreprit la construction de La Maison Nucingen. En r alit , dans les deux romans, l'auteur est inspir par le m me sujet: la sp culation boursi re, l'agiotage qui font rage une poque d'industrialisation sans pr c dent, o la folie des investissements hasardeux peut conduire au triomphe ou la ruine. Mais si Nucingen reste proche de la r alit , Melmoth (qui sera class dans Les tudes philosophiques) ayant vendu son me au diable, ram ne au mythe de Faust. Le roman est clairement une description de l'ascension en Europe de la maison Rothschild, avec la description du fameux coup de bourse lors de la bataille de Waterloo. R sum Eug ne de Rastignac tait devenu l'amant de Delphine de Nucingen, femme du grand banquier Nucingen en 1819 dans Le P re Goriot. En 1833, date laquelle commence la Maison il rompt avec Delphine, mais il continue travailler avec son mari dans des affaires frauduleuses, o il gagne beaucoup d'argent au point qu'il se trouve bient t en position de pr tendre au titre de pair de France. Dans le salon particulier d'un c l bre restaurant parisien, un homme surprend la conversation de quatre journalistes chauff s par un bon repas, Andoche Finot, mile Blondet, Couture et Jean-Jacques Bixiou. Ceux-ci commentent l' tonnante r ussite de Rastignac, qui doit son succ s la maison Nucingen, la fameuse banque parisienne. Nucingen pense que l'argent n'est une puissance que quand il est en quantit s disproportionn es, raison pour laquelle il se lance dans des op rations complexes qui peuvent se r sumer ainsi: il fait monter les prix de titres et les rach te quand il les a fait baisser artificiellement. Il va m me jusqu' utiliser des hommes bien consid r s dans la sph re parisienne, dont Rastignac fait partie, pour faire croire sa ruine imminente et pour alimenter la panique qui lui permet ensuite de sp culer des taux faramineux. Nucingen a l'art de combiner de fausses faillites, d'avancer ses pions sous forme d'hommes de paille. Il se retrouve ainsi la t te de capitaux normes et il peut racheter tr s bas prix les actions qu'il avait d'abord fait surestimer, puis baisser. Sa premi re liquidation lui permet d'acqu rir un luxueux h tel particulier et de se lancer dans une extravagante affaire en commandite par action dans les mines de Worschin. Il pourra jongler ensuite avec une deuxi me, puis une troisi me liquidation. Nucingen a utilis un grand nombre d'hommes de paille, parmi lesquels le tr s respectable Eug ne de Rastignac, le comte des Lupeaulx qui tous se sont enrichis ses c t s. Il a cependant fait perdre beaucoup d'argent au tr s habile Ferdinand du Tillet, qui pourtant l'admire et prend le on de ses m thodes. Balzac expose ici un v ritable trait de technique financi re telle qu'elle fonctionnait dans une p riode de f brilit boursi re, pas tr s loign e des m thodes pratiqu es notre poque. Il avait sous les yeux l'exemple du banquier Laffitte et surtout celui du banquier Beer L on Fould, qui se trouva deux fois en cessation de paiement (1799 et 1810), mais qui se releva d s 1825 et compta parmi l'un des membres de la haute banque. Les manoeuvres double ou trip