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Amaury
Contributor(s): Ballin, G-Ph (Editor), Dumas, Alexandre (Author)
ISBN: 1508868476     ISBN-13: 9781508868477
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $30.95  
Product Type: Paperback
Language: French
Published: March 2015
Qty:
Additional Information
BISAC Categories:
- Literary Collections | European - French
Physical Information: 1.08" H x 5.98" W x 9.02" (1.56 lbs) 536 pages
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
R sum Amaury, orphelin, a t lev par L opold d'Avrigny, m decin du roi et p re de Madeleine. Les deux jeunes gens ont grandi ensemble et l'amour s'est doucement install entre eux. Lorsque d bute le roman, Amaury a 22 ans et Madeleine 18. R cemment, L opold a pri Amaury de quitter la maison et il est devenu d sagr able. C'est qu'il a d couvert l'idylle et... qu'il est jaloux. Veuf, il a depuis longtemps report tout son amour sur sa fille. Depuis deux ans, la cousine de Madeleine, Antoinette, orpheline elle aussi, est venue s'installer chez elle. Antoinette est aussi amoureuse d'Amaury, mais tait ses sentiments pour ne pas nuire Madeleine. La sant de celle-ci, qui souffre de phtisie, s'aggrave rapidement. Lors d'une crise tr s s rieuse, Amaury implore L opold d'accepter sa pr sence et de lui permettre d' pouser Madeleine. Le p re, comprenant que les jours de sa fille sont compt s, accepte, bien malgr lui. Les projets de mariage redonnent vie et espoir Madeleine. D'Avrigny donne un bal pour c l brer les fian ailles, mais il implore sa fille de ne pas danser pour se m nager. Mais Madeleine est horriblement jalouse d'Antoinette, et lorsqu'elle r alise qu'Amaury offre une valse sa cousine, elle le supplie de danser plut t avec elle. La valse emporte Madeleine et elle s' croule, victime d'une nouvelle crise. Au fil des jours, tous se succ dent son chevet. Mais, plus que la phtisie, c'est la jalousie qui tue Madeleine. D s que son fianc et sa cousine s'absentent en m me temps, elle se morfond et s'inqui te. L opold implore donc Amaury de s' loigner quelque temps, pour sauver sa fille. La veille du d part d'Amaury, Madeleine le supplie de passer une heure aupr s d'elle, sans chaperon, au jardin. Il accepte et, dans cette atmosph re romantique, il embrasse sa fianc e qui s' croule aussit t. Cette fois, plus rien ne pourra la sauver et elle s' teint quelques jours plus tard. L opold s'enferme dans sa maison de campagne, attendant que la mort le r unisse sa fille. Amaury, apr s avoir pens au suicide, voyage pour fuir tout contact et Antoinette vit sagement Paris, toujours amoureuse d'Amaury. Des mois plus tard, celui-ci revient. Lors d'une visite son p re adoptif, celui-ci lui fait r aliser qu'il est maintenant amoureux d'Antoinette et approuve l'union. Amaury et Antoinette s' pousent au moment o s' teint L opold. Analyse On ne peut imaginer histoire plus typique de l' poque romantique Tout y est: motions, tressaillements, vanouissements, pamoison, etc... Jeunes filles au salon, brodant tranquillement, chaperonn es par une digne ma tresse anglaise; jeunes hommes qui fol trent et ont des petites ch ries jusqu' ce qu'ils rencontrent le vrai amour qui les prendra tout entiers. D'ailleurs, toute cette histoire est crite pour illustrer, au cours d'une causerie - passe-temps tr s agr able qu'appr cie beaucoup Dumas lors de ses passages dans des salons parisiens - ce qu'est un amour dont on meurt et un amour dont on ne meurt pas. L'auteur de l'histoire l'aurait reconstitu e, dit-il, partir des journaux intimes du p re de Madeleine et de son fianc , recr ant ainsi, par bribes, cette belle histoire d'amour. L'amour paternel, prouve-t-il par son r cit, est celui dont on meurt, tandis que l'amour d'un fianc , s'il fait souffrir, ne fait pas mourir et c de bient t la place un autre amour, malgr toutes les promesses chang es. Un r cit int ressant, puisqu'il se prom ne entre la vision du p re et celle de l'amoureux, travers les passages de leurs journaux intimes. Il pr sente galement la vision d'Antoinette, travers les lettres qu'elle change avec Amaury. Enfin, le narrateur s'ins re par moments pour raconter ce qui se passe entre les pages de ces journaux et de ces correspondances. On ne doit pas chercher, dans ce roman, un grand r cit historique