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Pitt et les finances de l'Angleterre
Contributor(s): de Lavergne, Léonce (Author)
ISBN: 1546548556     ISBN-13: 9781546548553
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $8.74  
Product Type: Paperback
Language: French
Published: May 2017
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Additional Information
BISAC Categories:
- Political Science | Public Policy - Economic Policy
Physical Information: 0.11" H x 6" W x 9" (0.19 lbs) 54 pages
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
"... Cette sup riorit particuli re de Pitt ne s'explique pas seulement par la force de son esprit et par l' nergie de sa volont . Ce qu'il a appliqu pour la premi re fois, il ne l'a pas imagin . Les finances de tous les tats de l'Europe, sans en excepter, certains gards, celles de l'Angleterre, taient encore, la fin du dernier si cle, dans le chaos du moyen- ge; mais l'esprit d'examen, qui avait pris un si grand essor pendant ce si cle, s' tait exerc sur les sources de la richesse, des nations comme sur les autres branches des connaissances humaines. Une science nouvelle venait de na tre. Les conomistes fran ais avaient donn le signal; apr s eux tait venu Adam Smith, dont le grand ouvrage publi en 1776, commen a une r volution qui n'est pas encore finie. D'innombrables crits, aujourd'hui oubli s, paraissaient dans toutes les langues, et portaient la lumi re sur les questions les plus obscures de l'ordre financier. Le m rite de Pitt fut de s'approprier ce qu'il y avait de vrai dans les th ories qui avaient cours de son temps et d'oser les mettre en pratique. Il n'en eut pas moins de m rite, car en toute chose l'ex cution est la grande difficult . Cependant il trouva un appui solide dans l'opinion des hommes clair s qui suivaient comme lui le mouvement des id es. Il eut aussi le bonheur de s'adresser l'intelligence d'une nation minemment positive, qui le comprit vite et ne l'abandonna jamais. Il rencontra bien des difficult s qu'il ne put vaincre au premier effort, il se trompa bien des fois; mais son pays lui resta fid le, m me dans ses erreurs, et ce n'est qu'ainsi qu'il put venir bout de son oeuvre. Les hommes les plus minents ne peuvent rien que quand ils sont second s..."